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Société & Culture

Droits de l'homme : "Dix jours pour humaniser les lieux de privation de liberté"

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Le Gabon célèbre ce 30 mai, autour du thème "Dix jours d'actions pour humaniser les lieux de privation de liberté", la Journée nationale des droits de l'Homme, instituée selon les dispositions de l’article 2 du décret n° 103/ PR/MDHLCCLCI du 15 janvier 2007.

Comme chaque année, l'objectif de cette célébration est de permettre au gouvernement de marquer son attachement aux droits de l'Homme et aux libertés fondamentales.

Ayant ratifié plusieurs traités internationaux et régionaux relatifs aux droits de l’Homme, notamment la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, le Gabon a, selon Paul-Marie Gondjout, ministre de la Justice, garde des Sceaux, le devoir de respecter, protéger et réaliser les droits contenus dans lesdits traités.

"La Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants et son Protocole facultatif obligent les États parties à prendre les mesures appropriées pour réprimer la torture et protéger les personnes contre toutes atteintes à leur intégrité physique et mentale dont elles pourraient être victimes", a-t-il souligné.

Cet engagement du Gabon a été d'ailleurs confirmé par le chef de l'État, président de la Transition, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, le 31 décembre 2023 dans son adresse à la nation à l’occasion du nouvel an, en ces termes :" J’entends faire de la promotion des droits humains un axe majeur de cette Transition".

"Je veux œuvrer à construire un Gabon sans distinction de race, de sexe, de nationalité, d’origine ethnique, de langue ou de religion".

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Prissilia M. MOUITY

Libreville/Gabon

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