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Société & Culture

Transport : Pagaille à l'embarquement et au débarquement des taxis

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Pour de nombreux Librevillois, les heures de pointe sont devenues de véritables cauchemars. Beaucoup d'entre eux préfèrent désormais déambuler en ville avant de regagner leurs domiciles, le temps que la voie soit délivrée des énormes encombrements.

Même pour les plus patients, les embouteillages dans nos rues et grandes artères ne sont pas faciles à vivre. Les désagréments causés par ce phénomène sont nombreux : rendez-vous manqués, arrivées tardives aux lieux de service, longues attentes dans les véhicules, etc. Et par ces temps de canicule, le calvaire n'en est que davantage accentué.

Mais à y regarder de près, d'autres causes endogènes contribuent à ce que les choses se passent ainsi sur la voie publique à Libreville. En effet, faute d'une réglementation, les zones d'embarquement et de débarquement des véhicules, surtout ceux à usage de taxis et clandos, sont le théâtre de cette pagaille urbaine, source d'embouteillage dans la capitale. Chacun stationne où bon lui semble, effectue des manœuvres à sa guise, ou encore bafoue les règles en matière de circulation routière.

Que ce soit à l'ex-gare routière, aux ronds-points de Nkembo, Sotega et Nzeng-Ayong, près des échangeurs, dans les marchés, les carrefours "fin goudron" ou encore Dragages de Nzeng-Ayong, on peut observer ce spectacle désolant. Pire encore au carrefour de Derrière-la-Prison, où c'est la loi de l'automobiliste le plus fort qui prime. Du coup, la fluidité de la circulation prend un coup, et les piétons sont contraints de marcher sur des trottoirs réduits.





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