Deux semaines après leur appel à une "nouvelle conscience politique woleuntemoise", le président du Bloc démocratique populaire (BDP), Paskhal Nkoulou, et une frange de cadres du Woleu-Ntem, ont réitéré leur invite, récemment, au quartier Cocotiers, dans le deuxième arrondissement de Libreville.
C'est du moins ce qui ressort de la rencontre entre la cellule de communication du principal candidat de l'opposition à la présidentielle d'août 2016, Jean Ping, et les représentants de la presse nationale et internationale. Laquelle a eu lieu, hier, à sa résidence des Charbonnages à Libreville.
C'est l'un des thèmes sur lesquels vont devoir se pencher les membres du Conseil économique, social et environnemental (CESE), au cours de la session ouverte, hier, par le président de cette institution, René Ndemezo'Obiang.
Outre ces deux aspects, quelques entrées et des promotions internes caractérisent le nouveau gouvernement qu'il conviendra d'appeler "Issoze Ngondet III". A noter également que certains ministres perdent quelques prérogatives au profit d'autres.
Pour le membre du Comité permanent du Bureau politique du Parti démocratique gabonais (PDG), il est plus que nécessaire, à la veille des consultations électorales qui pointent à l'horizon, de resserrer les rangs et de se mobiliser derrière le président Ali Bongo Ondimba.
Le ministre d'Etat, en charge de la Communication, porte-parole du gouvernement, a assuré, hier, au cours d'une conférence de presse restreinte, que le gouvernement s'emploie à réunir toutes les conditions pour la réussite du scrutin législatif dont l'organisation est prévue, selon la Cour constitutionnelle, au plus tard le 28 avril prochain.
C’est l’une des ambitions principales qui se dégagent au terme des assises qui se sont achevées samedi dernier à Libreville. Entre autres réformes apportées, le renouvellement du directoire du parti.
Le président de la République était, samedi, à Brazzaville au Congo voisin, dans le cadre de la série de visites débutée le 13 février dernier par Kigali, au Rwanda.
Le prochain premier responsable du Centre gabonais des élections (CGE), structure qui remplace désormais la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cénap), sera élu par un collège s
Le prochain premier responsable du Centre gabonais des élections (CGE), structure qui remplace désormais la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cénap), sera élu par un collège spécial pour un mandat de deux ans renouvelable une fois.
L'annonce, à demi-mot, de l'Union nationale de participer aux prochaines élections législatives vient clore les débats sur les avis contrastés d'un éventuel boycott de ce scrutin brandi par certains.