Après la descente du gouvernement dans le Moyen-Ogooué, le Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale, a fait son rapport de mission au chef de l'État. C'était hier au palais de la présidence de la République.

C'est la principale conclusion du dialogue intensifié entre le Gabon et l'Union européenne (UE) qui vient de s'achever, au grand bonheur des deux parties concernées.

Les agents de cette administration ont été dernièrement édifiés sur les modalités pratiques d'élaboration du budget prévisionnel 2 020.

Le dialogue intensifié entre le gouvernement gabonais et l'Union européenne, ouvert en début de semaine (UE), s'achève ce samedi à l'annexe du ministère des Affaires étrangères.

Sur instruction du président de la République, Ali Bongo Ondimba, le chef du gouvernement, Julien Nkoghe Bekale, à la tête d'une délégation composée entre autres du ministre d'État Edgard Anicet Mboumbou Miyakou, des ministres Rose Christiane Ossouka Raponda et Madeleine Berre, a effectué, hier, le déplacement de la province du Moyen-Ogooué. Il s'est rendu tour à tour à Ndjolé, dans le département de l'Abanga-Bigné ; puis à Lambaréné, le chef-lieu de ladite province.

Il s'agit de celui relatif aux inondations qui viennent à nouveau de frapper la province du Moyen-Ogooué, notamment Lambaréné et Ndjolé.

Au menu des échanges, hier à la Primature, entre Julien Nkoghe Bekale et Marco Lambertin, les questions liées à la conservation de l'environnement.

C'est la substance des échanges que le ministre d'État en charge de l'Intérieur, Égard Anicet Mboumbou Miyakou, a eus, mardi, avec une délégation d'experts saoudiens.

D'un peu plus de 3 milliards de nos francs, elle devrait contribuer à la formation de plus de 14 000 jeunes sans emploi.

Celle-ci définit le mode de fonctionnement et les étapes de la participation du Gabon à l'exposition. Le texte portant création du Comité de pilotage de notre pays à cet événement a été également validé, hier, à la Primature.

La 49e réunion du Comité consultatif permanent des Nations unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale (UNSAC) s'est ouverte, lundi 25 novembre dernier, à Luanda, capitale de l'Angola.

Porté sur les fonts baptismaux durant le dernier congrès extraordinaire du Centre des libéraux réformateurs (CLR), le Conseil politique (un organe statuant sur les questions d'ordre stratégique et qui oriente et contrôle l'action du directoire, Ndlr) dudit parti s'est réuni le week-end écoulé. Cette première séance de travail a enregistré la participation de Jean-Boniface Assélé, président du CLR et de ladite instance.