La Journée nationale du drapeau, célébrée chaque 9 août, ne l'a pas été dans son format habituel cette année. Normal, le nouveau coronavirus est passé par là.
En poste à Libreville depuis septembre 2013, l'ambassadeur de la Russie au Gabon, Dimitry Kourakov, s'apprête à quitter notre pays dans quelques semaines. Il est allé faire ses adieux jeudi dernier au ministre des Affaires étrangères, Pacôme Moubelet Boubeya.
Pour la 11e année consécutive, la Journée nationale du drapeau est célébrée ce dimanche 9 août 2020, sous le thème "Citoyenneté nationale, civisme et santé publique".
Au cours de la session du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) qui s'est tenue, mardi dernier, au palais du Bord-de-mer, sous la présidence du chef de l'État, Ali Bongo Ondimba, président du CSM, la Garde des Sceaux, Erlyne Antonella Ndembet épouse Damas, Premier vice-président du CSM, a souligné "la nécessité d'envisager le recrutement de nouvelles promotions de magistrats pour pallier le déficit actuel".
C'est ainsi que l'on peut résumer le discours du chef de l'État, Ali Bongo Ondimba, à l'occasion de la récente session du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) dont il est le président. Le tout dans le souci de raffermir et consolider l'État de droit dans notre pays. Normal, dirait-on, au regard des aspérités qui minent encore le système judiciaire gabonais.
Tirer les leçons du passé et rectifier par la même occasion le tir. C'est désormais ce à quoi s'attelle le secrétariat exécutif du Parti démocratique gabonais (PDG).
Le week-end écoulé, le délégué général adjoint du Centre des libéraux réformateurs (CLR), chargé de l'implantation, a séjourné dans les provinces de la Ngounié et du Moyen-Ogooué.
La décision rendue par la Cour constitutionnelle le 15 juin dernier devrait vraisemblablement mettre un terme à un débat qui a cours, en ce moment, au sein d'une partie de la classe politique gabonaise, s'agissant du renouvellement du bureau du Conseil gabonais des élections (CGE).
Les installations des différentes coordinations du Centre des libéraux réformateurs (CLR) se poursuivent. Après Akanda, Libreville, Ntoum, le délégué général adjoint en charge de l'implantation du parti, Alexandre Désiré Tapoyo, a récemment bouclé ce périple dans la province de l'Estuaire par le département du Komo-Kango.
L'entretien entre l'ambassadeur haut représentant du Gabon en France, par ailleurs représentant permanent du Gabon auprès de l'OIF, et le nouveau recteur de l'Agence universitaire de la Francophonie (AUF), a porté sur l'élaboration de la prochaine stratégie quadriennale de l'AUF (2021-2025).
Tous le petit doigt sur la couture du pantalon ! En adressant mises en demeure et avertissements à une trentaine de ses cadres, principalement des élus, le PDG a voulu montrer qu'il n'était pas prêt à transiger avec le respect scrupuleux d'une valeur qu'il considère essentielle à son fonctionnement et à son rayonnement : la cohésion.
On s'y attendait un tout petit peu. Le Parti démocratique gabonais (PDG), via sa Commission permanente de discipline (CPD), s'est montré particulièrement ferme en sanctionnant vingt-cinq de ses parlementaires qui, lors de l'examen et l'adoption par le Parlement de la loi 006/2 020 du 30 juin 2020 portant modification du Code pénal, avaient exprimé un "vote dissident, attitude située aux antipodes des principes basiques de cette formation politique et du style de travail édicté par le secrétariat exécutif".