Fermement attaché aux valeurs culturelles et spirituelles qui constituent le socle de l’identité gabonaise, le président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema, a pris part samedi à la procession sacrée de la communauté Mpongwè, appelée ''Evandaganyè'', en présence des communautés Nkomi, Orungu, Simba, Benga, Akele de l’Estuaire et les Sekiani.

Le Jubilé national des évêques, prêtres et diacres du Gabon a pris fin hier, dimanche 29 juin 2025, à la faveur d'une eucharistie organisée à la cathédrale SaintCharles Lwanga d'Oyem. Un évènement religieux placé sous le thème "Ministres du Christ et fidèles témoins de l'espérance chrétienne".

Le représentant résident de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), Dr Nsenga Ngoy, a effectué une visite à l'Université des sciences et techniques de la santé (USTS), vendredi 27 juin, dans le cadre d’une rencontre d’échange et de sensibilisation avec les élèves officiers médecins.

Dans le cadre de l'amélioration continue de ses services et de l'accessibilité à l'information, la Caisse nationale d'assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS) a annoncé vendredi, la publication de la nouvelle liste des médicaments et autres produits de santé (MAPS) remboursables, édition 2025.

Deuxième pièce théâtre jouée (6e représentation) à la 11e édition du festival ''Coup de théâtre'', ''Mudumumbula, le tonnerre'', s'ouvre sur personnage éponyme (Stacy Petty), assis sur une chaise, une énorme chaîne enlaçant ses reins.

L'édition 2025 du Jubilé national des évêques, prêtres et diacres du Gabon qui se déroule depuis jeudi à Oyem (Woleu-Ntem), constitue le premier rendez-vous de taille qui réunit tout le clergé catholique gabonais au même endroit, sous l'ère de la Ve République.

Jusqu'à demain, l'ensemble du clergé catholique du pays est en retrouvailles jubilaires dans le chef-lieu du Woleu-Ntem. La suite du conclave ouvert jeudi par une messe célébrée par l'archevêque métropolitain de Libreville, Mgr Jean-Patrick Iba-Ba, prévoit aujourd'hui des enseignements sur des thèmes variés, un chemin de croix et une messe d'ordination sacerdotale. La séance de clôture étant pour ce dimanche 29 juin 2025.

À l’occasion d’un atelier dit de ''Leçon apprise'', tenu à Libreville le 26 juin dernier, la Croix-Rouge gabonaise (CRG) a tiré les enseignements de son dispositif humanitaire déployé durant la présidentielle d’avril 2025. Fort d’une mobilisation nationale, l'organisation prépare déjà les législatives et locales dans un esprit d’anticipation, de neutralité et de professionnalisme.

Alors que le virus continue de faire des ravages silencieux avec près de 1 900 nouvelles infections chaque année, le Regap + lance un appel à l’implication des familles dans la lutte contre le VIH. Son nouveau président, Jean-Baptiste Bakoko, veut rompre avec l’indifférence et replacer la prévention au cœur des foyers gabonais.

Les bulldozers attendus sur le site du Carrefour Sni depuis mercredi selon le délai de 72 heures accordé depuis dimanche dernier aux populations pour libérer les espaces occupés, vont devoir se faire attendre encore. En effet, la mairie d'Owendo a décidé d'accorder un sursis aux populations occupant illégalement ce site, élaborant ainsi un délai supplémentaire pour permettre aux occupants de libérer d'eux-mêmes les espaces concernés sans trop de pression.

Le linéaire du projet de "la Voie de contournement du Grand Libreville, long de 57,7 km, va connaître une importante modification. En raison des obstacles relevés par les experts du ministère des Travaux publics, notamment un grand nombre de cimetières (plus d'un millier de sépulcres, d'importants bâtis, zones non aedificandi, une centrale électrique, deux lycées, une conduite de gaz, etc.), cette voie de 2X3 connaîtra une bifurcation (à Bambouchine) et un élargissement de la voie à Bikélé.

Si l’opération de démolition menée ce 25 juin à Mindoubé envoie un signal fort contre les destructions illégales d’espaces protégés, elle met surtout en lumière des années de silence complice ou d’inaction de la part de la Direction générale de l’Environnement et d’autres administrations concernées. Une question s’impose : où étaient les services censés prévenir ces dérives ?