Réunis le week-end dernier au siège de la Confédération syndicale gabonaise (Cosyga) à Libreville, les membres du Syndicat autonome des taxis du Gabon (Satag) se sont insurgés contre trois situations préoccupantes de leur secteur d'activité : la hausse du prix du carburant, la multiplicité des contrôles de police et de gendarmerie et celle de ''faux'' syndicats du secteur des transports.

Heureux comme les papas du département du Komo-Océan… Choyés qu'ils étaient par les membres de l'Association des jeunes émergents volontaires (Ajev) de leur circonscription, qui ont tenu à les célébrer au cours d'une cérémonie haute en couleurs, à l'occasion de la fête des pères, dimanche dernier.

La coalition des syndicats professionnels des transports terrestres (STTCG, Satag, Sypes, Sycotag, NDJTA, Synateg CTSU, Sympaa), regroupés au sein de la Coalition nationale des syndicats professionnels et assimilées du secteur des transports (Conasystra), a fait une déclaration de presse le 15 juin dernier à Libreville.

Le groupe vocal a offert au public, le 7 juin 2019, à l'Institut français de Libreville, pendant plus de deux heures une balade musicale autour de quatre continents. Avec un point d'honneur sur les rythmes et sonorités du terroir.

Tout au long de ses quarante années de carrière, le maître, en s'inspirant des travaux du philosophe allemand Hegel, n'a eu de cesse de penser le présent et de promouvoir les valeurs.

Offert par l'église centrale le Torrent du ministère ''le son de la trompette", le bâtiment entièrement réfectionné par ladite communauté chrétienne, pour un coût d'environ 6 millions de francs, va servir de laboratoire d'analyses médicales pour une meilleure prise en charge des malades mentaux.

Trente-neuf travailleurs de la Société des brasseries du Gabon (Sobraga) ont été distingués des médailles de bronze (24), d'argent (10) et d'or (5) auxquels il faut ajouter un travailleur ayant totalisé 40 ans de service.

C’est ce qui ressort des travaux menés durant 48 dernières heures par les spécialistes de la santé maternelle et infantile. Ils ont, à l'occasion des deuxièmes journées nationales mère-enfant ouvertes mercredi 12 juin au Centre hospitalier universitaire mère-enfant, axé leurs réflexions sur l'hypertension artérielle (HTA) et la grossesse.

Embouteillages monstrueux sur le boulevard Triomphal et ses abords une bonne partie de la matinée d'hier. Obligeant ainsi les piétons à battre le macadam. Il en est de même des automobilistes, contraints de rouler au pas ou de prendre des raccourcis, notamment les voies de contournement.

Les spécialistes de la santé maternelle et infantile sont réunis au Centre hospitalier universitaire mère-enfant, Fondation Jeanne Ebori (CHUMEFJE) à l'initiative des sociétés gabonaises de pédiatrie (Sogaped) et de gynécologie obstétrique et de la reproduction (SGGOR).

les 33 362 candidats qui passent actuellement l'examen du Brevet d'études du premier cycle (BEPC) ne sont pas logés à la même enseigne. Particulièrement l'un d'eux, que nous avons rencontré mardi au centre du collège Bessieux. Contrairement aux autres, il est autiste.

C'est l'objectif de la série de causeries initiées depuis hier par la Fondation Sylvia Bongo Ondimba dans les mairies centrales et d'arrondissement de Libreville, d'Owendo et d'Akanda, en prélude à la 9e édition de la journée internationale qui se célébrera le samedi 22 juin prochain.