En août dernier, le ministre de la Santé Guy Patrick Obiang Ndong était en visite sur les sites d'Olam et Maurel & Prom, dans les provinces de la Ngounié et du Moyen-Ogooué. Cette mission, sans qu'on s'en rende vraiment compte, avait permis de mettre en exergue une simple réalité : les agents de la Santé ne sont pas les seuls à payer un tribut au coronavirus. Le Copil, dans son récent rapport, n'a-t-il d'ailleurs pas évoqué des "clusters professionnels" ?

Selon le bilan épidémiologique dévoilé par le Copil, le 14 septembre passé, le Gabon compte désormais moins de 900 cas actifs.

Six mois après l'apparition du premier cas, on note une décélération des cas de contamination au Gabon. Celle-ci peut être interprétée comme une conséquence de la rigueur mise par les autorités dans l'exigence faite à la population de respecter les mesures barrières.

Six mois déjà que le Gabon fait face à la Covid-19, ce redoutable virus mortel qui ne cesse d'endeuiller les familles. Dans sa lutte, le gouvernement a consenti des efforts non négligeables, en dépit des écueils qu'il a rencontrés, et qui restent encore perceptibles.

Le coronavirus qui touche l'ensemble du territoire national continue de se propager, mais à une vitesse moins inquiétante. Au regard des données communiquées dernièrement par le Comité de pilotage (Copil) du plan de veille et de riposte contre le coronavirus, on observe au Gabon une diminution des nouvelles contaminations.

Le coût du médicament pourrait-il flamber ? Un certificat de conformité fait en tout cas planer une telle hypothèse.

Michel Menga M'Essone, ministre de la Culture et des Arts, s'est entretenu, le jeudi 10 septembre dernier, au Musée national des arts, rites et traditions du Gabon, avec les artistes gabonais.

En vue d'une rentrée universitaire sereine, le ministre en charge de l’Enseignement supérieur, Patrick Mouguiama Daouda, et sa déléguée, Carmélia Ntoutoume-Lecclerq, ont échangé, tour à tour, avec les chefs d’établissements supérieurs et les partenaires sociaux.

Lors d'une conférence d'affaires organisée dernièrement par le vice-consul du Gabon à Jeddah (Arabie Saoudite), Ibrahim Nziengui, les opportunités d'investir au Gabon ont été présentées aux hommes d'affaires de ce pays. Parmi eux, le président du conseil d'administration de la société Alhadaba, Tala Shoman, parrain de la rencontre.

Les établissements secondaires de l'hinterland affichent les meilleurs scores à l'issue de cet examen qui marque la fin de cette année scolaire. Parmi eux, on retient les centres de Roger-Gouteyron (Gamba), Jean-Stanislas-Migolet, Lubin-Martial-Ntoutoume-Obame (Ntoum) et Henri-Sylvoz (Moanda) qui ont explosé le compteur, atteignant la barre de 100 % lors des deux tours.

Des années les séparent, mais ils ont réussi, cette année, au baccalauréat pour point commun. Âgé de 14 ans, car né le 30 mai 2006, Nathan Blaise Mihindu-Mi-Nzambe est le plus jeune bachelier du Gabon.

Le vent du succès au baccalauréat session 2020 a soufflé du côté de la prison centrale de Libreville. 21 candidats sur 22 inscrits de la principale maison d'arrêt du Gabon ont affronté cet examen qui ouvre les portes du supérieur. 16 ont finalement décroché leur parchemin. Loin des salles de cours classiques des lycées, ils ont planché sur leur examen depuis des espaces qui leur ont été aménagés.