Pattes d'ours, casques, ordinateurs, rames de papier, tiges (chaussures de boxe), protège-sexes et protège-dents, balles de tennis, gants de sacs, de combats et d'entraînements, cordes à sauter, échelles, chronomètres, porte-gourdes, etc. C'est le matériel reçu, samedi dernier, à la salle nationale de boxe qui jouxte la Société gabonaise de sépulture (Gabosep), au quartier Bessieux, par la Ligue de boxe de l'Estuaire et et celle nationale de boxe professionnelle.