Par cette approche, le Réseau des organisations et projets associatifs du Gabon (Ropaga), qui a réuni à Libreville plusieurs acteurs, cherche des réponses aux aspirations des jeunes, désireux d'épanouissement, d'emploi et de bien-être.
Dans le cadre de la 5e édition de la semaine des associations, le Réseau des organisations et projets associatifs du Gabon (Ropaga) a réuni à Libreville, de jeudi à samedi derniers, un bon nombre d'acteurs, afin de repenser les stratégies de politique de la jeunesse. Le plus souvent marginalisés et laissés-pour-compte, les jeunes sont de plus en plus désireux d'épanouissement, d'emploi et de bien-être. La loi 35/62 régissant le secteur associatif, tombée en désuétude, n'est pas pour arranger la situation.
D'où la nécessité de réfléchir aux défis majeurs d'une société civile constructive et d'une jeunesse dynamique, capable d'innovation et de participation active et pacifique au développement, et qu'il est très important de les former en droit humain et en gestion axée sur les résultats de développement.
" Il faudrait alors renforcer les capacités des acteurs associatifs, tout particulièrement des jeunes, pour porter haut leurs aspirations et, par la même occasion, les attentes des populations les plus vulnérables auprès des gouvernants, parlementaires, autorités locales, médias et partenaires techniques et financiers", a souligné Guy Christian Moussavou, président du conseil d'administration du Ropava, à l'ouverture de ce séminaire-atelier.
Frédéric Serge LONG
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société