À 13h15, l’école publique d’Ozangue affichait une affluence encore inédite depuis le matin. Mais derrière cette cour bondée se cache une réalité qui irrite les électeurs.
Entre pluie et timidité des premiers électeurs, la matinée de vote s’ouvre sans incident majeur à Libreville. Entre optimisme citoyen et organisation jugée satisfaisante, l’espoir du changement reste le moteur affiché de plusieurs votants.
Comme au centre de vote Martine Oulabou, l’école publique de Louis a ouvert ses portes dès les premières heures. Depuis ce matin, les électeurs vont et viennent pour accomplir leur devoir citoyen.
Encore peu vulgarisée au Gabon, la contraception s’impose pourtant comme un levier essentiel pour la santé des femmes, l’avenir des familles et la lutte contre les grossesses précoces.
Le ministre de l’Intérieur, Hermann Immongault, s’est rendu, hier vendredi 26 septembre, à l’hôtel Radisson Blu pour visiter le dispositif mis en place par la Commission d’observation des élections du Réseau des observateurs citoyens (ROC).
À Ntoum, le scrutin n’a pas encore démarré dans certains centres de vote, notamment à l’école publique de Nkan, l’un des plus anciens bureaux de la localité, ouvert depuis les premières élections pluralistes de 1990.
C’est au gymnase du lycée technique Agathe Obendze de Franceville que Jean-Lucien Doumbeneny, candidat indépendant et tête de la liste Espoir, a tenu vendredi 26 septembre son meeting de clôture devant plus de 600 électeurs du 4ᵉ arrondissement.
Les candidats investis par le Parti démocratique gabonais (PDG) dans la commune de Franceville et le département de la Mpassa ont clôturé leur campagne vendredi 26 septembre au rond-point de Potos.
Hugues Mbadinga Madiya, candidat du Parti démocratique gabonais (PDG), a clôturé sa tournée ce vendredi 26 septembre dans le deuxième arrondissement de Koula-Moutou.