Comme chaque année à pareille date, les soutenances des mémoires professionnels viennent de se tenir à l'Université franco-gabonaise Saint-Exupéry (UFGSE) de Libreville pour les niveaux Masters.

Les arbitres Fifa gabonais seront peut-être bientôt privés des compétitions internationales : ils ne sont pas équipés de kits de communication (oreillettes) requis lors des rencontres placées sous l'égide de la Fifa ou de la Confédération africaine de football (Caf).

Il en avait fait son petit négoce, et les gendarmes l'avaient dans leur ligne de mire. Fabrice Mb. N. ne les a pas déçus. Vendeur de drogue, une clientèle de collégiens qui plus est, il avait pignon sur rue. Mauvais calcul !

Aboubakar. Y.(36 ans) était en possession d'un récépissé de Carte nationale d’identité (CNI) gabonaise. Le contrôle routier lui sera fatal. Son voyage s'est achevé au poste de Bifoun.

Les responsables religieux catholique, musulman et protestant de la République centrafricaine (RCA) se réunissaient lundi à Rome. Une seule ambition, préserver la qualité des échanges. (selon l'AFP).

La victoire n'a pas été officiellement proclamée mais, de l'avis des autorités sanitaires, l'essentiel est acquis. Et irréversible. Au terme de dix ans d'efforts, le paludisme est en voie de disparition sur les trois îles des Comores (selon l'AFP).

Rien à redire. Les nouveaux promus d'Adouma FC ont parfaitement négocié leur entrée en National 1. Le FC 105 en a fait les frais, et reconnaissait les mérites de l'adversaire.

Le greffe ou la grève ! ”. Au lendemain de la rencontre entre le directoire et le ministre de la Justice et garde des Sceaux, Alexis Boutamba Mbina, la base confirme sa détermination. Un délai est accordé, mais les revendications subsistent.

Plus tôt que prévu, les conseillers membres ont mis un terme à leur conclave en adoptant certaines recommandations.

Les responsables des différentes administrations intervenant dans la chaîne des prix se sont retrouvés dernièrement, autour du ministre délégué à l’Economie, Pascal Houangni Ambouroue. Le but de cette rencontre était de comprendre pourquoi les efforts consentis par l’Etat depuis 2012, en vue de soulager le panier de la ménagère, n’ont aucun impact réel dans la vie du consommateur.