Les automobilistes n'hésitent pas à se servir de leurs portables pour répondre un appel ou à un message. Quelle que soit la raison, ce geste déconcentre le conducteur et peut causer des accidents, parfois mortels.
Le téléphone portable occupe de plus en plus de place dans notre vie quotidienne. Appels, sms, notifications, mails, photos... pour toutes ces applications, certaines personnes oublient qu'il faut s'en séparer une fois au volant de leurs voitures.
Et tout cela contribue, malheureusement, à accroître les accidents de la route. Quelle que soit la façon dont on s'en sert, le smartphone est susceptible de limiter l'attention et l'audition du conducteur, alors qu'on sait que la conduite demande beaucoup d'attention et de concentration. Or, le téléphone cumule plusieurs sources de distractions, à la fois auditive, physique (le toucher), cognitive (la pensée) et visuelle, qui peuvent détourner l'attention de celui qui tient le volant ou le guidon.
Selon des données statistiques de 2017 du ministère des Transports et de la Logistique, l'inobservation des règles de sécurité, entre autres l'utilisation du téléphone portable au volant, serait la cause de 2,01% d'accidents au Gabon. Des chiffres qui pourraient augmenter au terme de l'année en cours si les automobilistes ne redoublent pas de vigilance.
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société
random pub
Articles associés
Le 25 novembre 2024, le Lycée Michel Montaigne a communiqué une décision qui a provoqué un tollé parmi les parents d'élèves.
Procéder à l'élaboration d'un cadre stratégique visant à améliorer le système de transfusion sanguine au Gabon pour garantir un accès sûr, équitable et durable au sang et aux produits sang
Dans le cadre de la transformation pédagogique à l’Université des sciences et techniques de Masuku (USTM), une formation intensive s'est tenue pour initier les enseignants-chercheurs à l'approche p
Alors que le Gabon s'est doté d'un cadre juridique solide pour réguler le secteur des télécommunications, la réalité sur le terrain révèle un décalage préoccupant.
Dans une déclaration à la presse, M.
Cédric Bourobou Nzaou, un des trois représentants du collectif des filiales dissoutes de la Gab'Oil, a la voix de ces personnes qui font face à une situation qui les empêche de dormir.
