Malgré eux, les U17 tanzaniens et leur staff technique ont été les révélateurs des faiblesses sous-jacentes de la stratégie mise en place par Pierre Mfoumbi et ses collaborateurs.
DEVANT les Serengeti boys de Tanzanie, les Panthéreaux n'ont pas pesé bien lourd. Ils ont été défaits à deux reprises, à quelques jours d'intervalle et sur le même score de 2-1. Dans les conversations engagées au terme de chaque rencontre, les sujets ont tourné autour de la défense de ces jeunes gens qui sont encore « des enfants » (mais c'est vite oublier que certains jouent déjà en première ou deuxième division), ou de certains articles de l’Union relatant les zones d’ombre des stratégies mises en place par le sélectionneur national Pierre Mfoumbi et son staff technique.
A croire que c'était la faute de ce média si des réponses appropriées n'ont jamais été trouvées pour contrer le système de jeu élaboré par le Danois Kim Poulsen. A moins qu'il y ait une volonté de passer sous silence certaines faiblesses. Et elles sont nombreuses au point que, sans s'en rendre compte, le coach des Serengeti boys a permis d'en tirer une leçon. Ou plusieurs.
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