Ouvert le 15 février 2017, l’atelier de renforcement des capacités des pays membres de la Convention d’Abidjan avait pour objectif le partage des connaissances sur la planification des activités marines.
Lors de leurs échanges, les participants ont pu discuter d'un certain nombre d'outils concernant la planification et les différents cadres aussi bien institutionnels que réglementaires, qui régissent ces activités dans chaque Etat.
A ce niveau, il a été démontré que le Gabon est bien avancé par rapport à d'autres Etats. « Depuis 2016, nous avons mis en place le Conseil national de la mer, qui est un organe qui fédère la totalité des autres administrations sectorielles évoluant en mer, dont la Marine marchande, la Marine nationale pour les questions de défense, la Pêche pour l'activité halieutique, l'Environnement pour la protection des milieux marins et bien d'autres. On a donc créé une synergie qui a été retenue ici comme exemple », a expliqué le directeur général de l’Environnement Louis Léandre Ebobola.
Pour le responsable du programme de la Convention d’Abidjan, Richard Dacosta, les participants devront donc continuer le processus, en identifiant de nouveaux sites, mais également en comblant le gap qui existe entre l'Afrique de l'Ouest et l'Afrique centrale.
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