Selon Bruno Ben Moubamba, chacun devra répondre de ses actes. « Nous avons commis cet audit de l’habitat pour déterminer les responsabilités des uns et des autres dans l’échec des 5 000 logements par an. Nous profitons de cette opportunité pour préciser que toutes les actions de nature prématurée pourraient perturber l’audit (...). Le moment venu, le ministère public remettra (ses) conclusions et sera libre d’engager toutes poursuites nécessaires », a-t-il déclaré.
S'agissant d'Angondjé, le vice-Premier ministre a tenu à préciser: « Au sujet des occupants illégaux, nous réaffirmons devant l’opinion que toutes les procédures sociales et toutes les mesures d’accompagnement ont été épuisées. Il n’y a donc plus de place pour la discussion. Nous remettons dès à présent le dossier entre les mains du procureur de la République, pour que force reste à la loi ».
F.A.
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