Une fois encore, la vitesse et la perte de contrôle sont à l'origine du drame. Dieudonné Aboumaga ne pourra plus, hélas, le méditer.
D'après le rapport d'enquête établi par la gendarmerie d’Okondja (Sébé-Brikolo), le Toyota Hilux roulait sur la piste de latérite parfaitement dégagée, dans le sens Okondja-Franceville. Aucun obstacle, un état de la route somme toute correct. A ce détail près que le conducteur, Dieudonné Aboumaga, appuyait un peu trop sur l'accélérateur. Et c'est dans un virage que le véhicule est devenu incontrôlable. Le Toyota quitte alors la piste et vient terminer sa mortelle trajectoire, dans un talus, plusieurs mètres en contrebas. Le conducteur est tué sur le coup et sa passagère et compagne, Mamis Assiri, est évacuée, victime d'un traumatisme crânien. Elle sera placée en observation au Centre hospitalier régional Amissa Bongo de Franceville. Diagnostic réservé.
« Ce énième accident mortel est dû, une fois de plus, à la non observation des règles de conduite, le manque de maîtrise et la vitesse excessive », précise-t-on à l’unité de la gendarmerie nationale. Ce n'est pas la route qui tue, mais l'inconscience. (Paru le 10/12/2016)
Retournez à la rubrique Justice & Faits divers au Gabon Gabon
random pub
Articles associés
L'antenne provinciale de la Direction générale des recherches (DGR) du Woleu-Ntem et la brigade de gendarmerie de Minvoul viennent de mettre en lumière les mobiles de l’affaire ayant entraîné le dé
Le meurtre de François Ngelassili – l'étudiant gabonais poignardé mortellement, le 18 août 2023, rue Malysheva, à Ekaterinbourg, près d'un Burger King, en Russie –, ne restera pas impuni.
Un Gabonais identifié comme Mouanda, 36 ans, chef d'équipe à la société Olam Palm du site Mboukou, a été abattu dans l’après-midi de dimanche dernier par son rival, un ouvrier agricole répondant au
Martial Simba, un Gabonais de 20 ans, domicilié au quartier Salsa, dans le 4e arrondissement de Port-Gentil, a perdu deux doigts de sa main gauche dernièrement.
Les habitants du quartier Derrière-le-projet, à Lebamba, le chef-lieu du département de la Louétsi-Wano, sont sous le choc depuis dimanche dernier. Et pour cause.
Les éléments de la gendarmerie et de la police de Moanda étaient sur la brèche après une alerte concernant une bande de gangsters à l'origine de plusieurs méfaits perpétrés dans le chef-lieu du dé
