L'attente commençait déjà à susciter des interprétations en tout genre, jusqu'à jeudi dernier. Jour que les deux parties (gabonaise et espagnole) ont choisi pour parapher le contrat devant permettre au nouveau sélectionneur, José Antonio Camacho, de prendre les rênes de l'équipe nationale.
SI dans le contrat il est consacré une clause de confidentialité sur le salaire du sélectionneur que la partie gabonaise s'est, du reste, gardée de dévoiler, il est, en contrepartie, fait obligation au technicien ibère d'élire domicile à Libreville, de superviser les rencontres du national-foot professionnel et, surtout, de qualifier les Panthères à la prochaine Coupe du monde 2018 dont la phase finale aura lieu en Russie. Mais aussi de faire bonne figure à la Can-2017 que va organiser notre pays dans un peu moins de deux mois.
La signature de Camacho n'était pas la seule au menu de la cérémonie organisée à cet effet au ministère des Sports. Il y avait aussi celles de ses deux adjoints : José Robenas Carcelen (entraîneur adjoint) et Fernando Augustin Gaspar Laborie (préparateur physique). Ils sont tous les deux Espagnols et vont accompagner leur compatriote dans cette lourde, voire délicate mission.
A.M.
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