Mais l'administration chargée de leur mise en place et de leur fonctionnement peut également être mise en cause. Nombre de ces feux ont été intentionnellement arrêtés, pour juguler les embouteillages qu'ils seraient accusés de causer. Le cas du carrefour Derrière-la-prison. Une commerçante exerçant au carrefour Saint-Michel de Nkembo, (2e arrondissement de Libreville), met en garde contre cet état de fait. A ses yeux, cette mesure d'extinction peut être considérée comme salutaire au niveau des voies dites "express". Mais il n'en saurait être de même pour ce qui concerne les carrefours, où leur absence constitue un danger pour la sécurité des piétons. Et de prendre l'exemple de l'intersection du carrefour Saint-Michel de Nkembo, où les feux tricolores sont à l'arrêt depuis plusieurs mois.
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