APRÈS la commune d’Owendo, avec les femmes de l’association "Jamais Sans Nous", les responsables du projet " La sécurité alimentaire renforcée en milieu urbain en Afrique centrale grâce à une disponibilité de la nourriture produite localement", entendent sensibiliser les communautés urbaines d’Akanda et de Ntoum, en particulier les associations ou des coopératives à la culture biologique.
L’objectif de ce projet est de contribuer au renforcement de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans les zones urbaines et péri-urbaines ; générer des revenus pour les producteurs et créer des opportunités d’emplois. Selon le coordinateur de cette initiative, Vincent Edzang, le projet a été mis en place, en 2015, pour une période de trois ans dans six pays de la sous-région (Cameroun, Congo, Guinée-Equatoriale, Sao Tomé et Principe, Tchad et Gabon). Chez nous, deux zones ont été retenues comme points focaux : Motobo et Kougouleu.
L’impact visé par ce projet est de créer un environnement urbain où les conditions de vie des populations seront améliorées, leur sécurité alimentaire et nutritionnelle renforcée, et leur environnement assaini.
JM
Retournez à la rubrique Gabon économie Gabon
random pub
Articles associés
L’ÉTAT Gabonais, à travers le ministère du Pétrole, et l’opérateur pétrolier Maurel & Prom ont signé mardi un contrat d’exploitation et de partage de production (CEPP).
Dans le cadre de sa stratégie visant à améliorer la qualité de service en eau et en électricité de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), le Comité pour la transition et la restauration des
Le défi qui attend le nouveau directeur général de la société Gab'oil est loin d'être une sinécure.
Décidés à être des acteurs clés de l’économie nationale, les entrepreneurs locaux multiplient les initiatives en vue de proposer des solutions concrètes.
L’agence gabonaise de sécurité alimentaire (Agasa) a procédé la semaine dernière à la fermeture provisoire des fumoirs de poissons dans les sites de "Petite et grande poubelle", situés au quartier
Sous le feu des critiques depuis un moment, la Société d'énergie et d'eau du Gabon (SEEG) commence à mettre en œuvre les mesures d'urgence devant lui permettre de retrouver ses lettres de noblesse,
