METTANT de côté sa posture d'homme politique, Jules Marius Ogouebandja s'est rendu, mardi dernier, auprès des fidèles musulmans, notamment ceux de la communauté haoussa, pour les féliciter au terme de la période de jeûne du mois béni de Ramadan. Le député du 2e siège du 4e arrondissement de la commune de Libreville, entouré de ses collaborateurs, s'est montré solidaire de l'action de pénitence, de purification et de spiritualité à laquelle se sont livrés, pendant 30 jours, ses hôtes.
Se fondant sur l'importance de la prière et sur la force de ce mois sacré du calendrier hégirien, le membre du comité permanent du bureau politique du Parti démocratique gabonais (PDG) s'est voulu franc dans son discours, invitant notamment les femmes à se saisir de leur rôle. Car, ce que femme veut, Dieu le veut forcément en ce genre de situation exceptionnelle tel que le Ramadan où l'esprit est correctement mis en condition, afin d'établir la connexion avec le créateur. "C'est toujours le sentiment de fraternité et de solidarité qui unit toutes les filles et fils du 4e arrondissement de la commune de Libreville. Les prières venant d'une femme, comme celles que vient de faire notre sœur ici présente, conforte la paix et la stabilité. Nous avons, tout comme vous, l'obligation de préserver notre pays dans un climat de paix. Sans la paix, il est difficile de construire la nation", a-t-il dit.
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