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SÉNÉGAL-GAMBIE-POLITIQUE-OPPOSITION-MANIFESTATION-DROITSHOMME : La traque de toute forme de dissension s'est aggravée en Gambie (Amnesty)

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L'espace déjà très réduit concédé à toute forme de dissidence en Gambie s'est encore rétréci sous l'effet d'une répression accrue, s'inquiète Amnesty International à six mois de l'élection présidentielle, dans un rapport publié jeudi (selon l'AFP).

"Ce rapport montre qu'en Gambie toute dissidence, réelle ou supposée, reste très dangereuse pour les journalistes, les chefs de l'opposition, les défenseurs des droits humains, les militants, les organisations de la société civile, la population en général et même les représentants du gouvernement", résume l'ONG.

Ces atteintes répétées visant les médias, l'opposition et les militants des droits de l'Homme "ont instauré un climat de peur ", affirme Amnesty, soulignant "la pratique d'arrestations arbitraires, de détentions au secret et de torture".

"Le prix à payer de la dissidence en Gambie" est apparu clairement lors de la répression de rares manifestations en avril, qui se sont soldées par l'arrestation de dizaines de personnes et la mort en détention d'un des dirigeants d'un parti d'opposition, rappelle l'ONG.

"A l'heure actuelle, 51 personnes sont en cours de jugement et Solo Sandeng, le secrétaire national à l'organisation du Parti démocratique uni, est mort en détention des suites de tortures perpétrées à l'Agence nationale de renseignement (NIA)", selon le rapport.

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