Chaque rentrée scolaire intervient avec son lot de questions et de frustrations. Entre les parents qui semblent surpris par l'annonce du début des cours et ceux pour qui rassembler les fournitures scolaires de leur progéniture est un combat de titan, il y a aussi cette catégorie qui fait face à de nombreuses frustrations.
À qui incombe la responsabilité de l'achat des trousseaux scolaires ? La réponse est évidente : aux parents. Parce qu'un enfant est un investissement que se partagent les parents, cette question ne devrait pas se poser. Pourtant, à chaque début d'année, c'est la grosse colère. À lire les commentaires de certaines mamans furieuses, les papas seraient de plus en plus démissionnaires. Mieux, avoir un père responsable, soucieux de l'avenir et de la scolarité de son enfant est une grâce divine.
M. Wils, créateur de contenu, a d’ailleurs posé cette question subliminale à la veille de la reprise des cours. Les réponses sont sans langue de bois. " Dieu merci que pour moi ma fille a le meilleur papa du monde tout est prêt..c’est acheter la nouvelle tenue qui manque mais elle débutera d’abord avec l’ancienne tenue. Longue vie à toi le père de ma fille et surtout ne change pas ce côté responsable " ; " Ah cette année il a fermé ma bouche hein.. vu que je m'y étais prise plus tôt, il m'a remboursé ce que j'ai dépensé pour cette rentrée. Je prie juste qu'il demeure ainsi jusqu'à la fin des études de l'enfant. Quand c'est bon, il faut reconnaître ", témoigne Mathilde.
Des cas comme celui de Mathilde semblent rares : " Il n'a jamais participé oh, mon fils a déjà 9 ans au CM1, je rends grâce à Dieu pour tous mes efforts " ; " Ma fille a 13 ans et n’a jamais reçu même un crayon de son père biologique. Elle va en 3e cette année du coup qu’il continue de garder silence et ne doit même pas oser la chercher un jour " ; " Le père de mes enfants a démissionné de ses responsabilités depuis notre séparation en 2016. Notre première fille est en classe de Tle aujourd'hui et il n'a jamais envoyé le moindre centime pour sa scolarité. Heureusement que Dieu veille ".