Débutée le 19 janvier 2019, la phase aller du championnat interclubs de boxe de la Ligue de l'Estuaire s'est achevée le 13 avril dernier. A la salle nationale de boxe où nous avons rencontré, lundi dernier, le responsable de ladite ligue qui, tout en exprimant un sentiment de satisfaction, fait un bilan d'étape.
l’union. Quel est votre sentiment au terme de la phase aller du championnat interclubs de boxe qu'organise la Ligue de l'Estuaire dont vous êtes le président ?Olivier Moussavou : Pour nous, c'est une grande satisfaction. Parce qu'on ne nous croyait pas capables d'aller jusqu'au bout de cette première étape. Treize journées, c'est long. Elles se sont bien passées dans l'ensemble. Nous n'avons pas eu trop de soucis aux plans sanitaire et sécuritaire.
Comment avez-vous trouvé le niveau de la compétition ?
- Progressivement, le niveau s'est amélioré. Au fil des journées, beaucoup de pugilistes qui n'arrivaient pas à boxer avec la garde, qui n'étaient pas rapides, se sont améliorés au bout de sept ou huit journées. Constat général : le niveau s'élève.
Que pensez-vous de l'organisation des clubs ?
- Nous avons, en gros, huit clubs qui se sont démarqués dans la structuration. Notamment les quatre premiers qui ont suffisamment de moyens par rapport aux autres équipes. Ce qui est intéressant, c'est que les clubs forment. D'où l'arrivée de nouveaux boxeurs qui progressent. Au niveau des différents encadrements techniques, il y a un travail qui se fait. C'est vrai qu'au départ, ce n'était pas ça.
Propos recueillis par MIKOLO MIKOLO
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon sport