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Politique

Mise en place du CGE : les arguments de DN

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Aujourd'hui le ministre de l'Intérieur se retrouve avec deux listes différentes des représentants de l'opposition dans la mise en place du Centre gabonais des élections (CGE). La première émane de quarante et un (41) partis politiques dont ceux qui avaient boudé le Dialogue d'Angondjé. L'autre vient de trois formations politiques, toutes présentes aux assises d'Angondjé, à savoir le PSD, le PDS et DN.

L'opposition intéressée par le processus électoral relatif aux prochaines Législatives n'a pas réussi à accordé ses violons pour la désignation de ses représentants dans le processus de la mise en place du Centre gabonais des élections (CGE), organe qui devra désormais gérer tous les scrutins politiques dans notre pays. Au point que, contrairement à la majorité républicaine et sociale pour l'émergence qui elle a envoyé une seule liste au ministère de l'Intérieur, l'opposition en a envoyé deux.

Selon la loi, chaque bord politique doit désigner ses quatre représentants pour siéger au CGE et ses cinq membres de la Commission ad hoc chargée d'examiner les dossiers de candidature à la présidence du CGE. La première liste des représentants de l'opposition a été concoctée par quarante et un partis politiques dont ceux qui se disent de l'opposition radicale ayant boudé le Dialogue politique d'Angondjé.

La seconde liste est l'œuvre du Parti social démocrate (PSD) de Pierre-Claver Maganga Moussavou, du Parti pour le développement et la solidarité sociale (PDS) de Séraphin Ndaot Rembogo, et Démocratie nouvelle (DN) de René Ndemezo'Obiang.

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