L'Union : Marthe Avaro, quelles sont vos impressions au sortir de votre défaite face à la Coréenne Lee lors du Grand Slam de Paris le week-end dernier ?
- Marthe Avaro : Pas grand-chose à dire si ce n'est confirmer qu'elle est plus forte que moi. Elle a par conséquent logiquement remporté le combat. Mais je souhaite tout de même insister sur un point qui me paraît très important.
Lequel ?
- J'aimerais que tout le monde mesure l'ampleur de ce que je vais dire. Pour faire partie des meilleures, il faut se frotter à elles et de façon régulière. N'importe qui ne peut pas se lever un matin et battre une championne.
Vous n'étiez donc pas prête à affronter la championne asiatique ?
- La préparation est tout ce qui nous manque à nous, athlètes gabonais, pour performer. Les stages, les sorties en Open en Grand Slam, tout cela se prépare. Comment font les autres pays, à l'exemple de l'Angola et du Cameroun ?
Après le Grand Slam de Paris, c'est quoi la suite ?
- Déjà dire que c'est le président de la Fédération gabonaise de judo qui a réglé les frais pour l'obtention de l'accréditation indispensable pour participer au Grand Slam de Paris. À qui je dis merci au passage. Pour l'instant, j'ai en ligne de mire l'Open d'Alger. J'ai demandé à prendre part à cette compétition qui aura lieu ce mois de février. J'attends! Et dans cette perspective, je continue à m'entraîner.
Et vos attentes face aux nouvelles autorités sportives du pays ?
- Le football c'est bien, mais il y a d'autres disciplines sportives qui font honneur au pays. J'attends des autorités sportives en place un soutien à l'image de ce que font les dirigeants pour le football.
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