Cette question posée hier avec insistance par les avocats des parties civiles et des prévenus a contraint le Tribunal correctionnel à remettre l'audience au 7 août prochain.
Un chef de village, Louis-Georges Mpendaga, a été condamné à 26 ans de prison pour avoir violé ses petites-filles de 11 et 13 ans lors des vacances de 2019 dans le département d’Etimboue. La cour a reconnu la gravité de ses actes, commis sous l’emprise de l’alcool, et l’a condamné à une lourde peine, ainsi qu’à verser des dommages et intérêts à ses victimes.
Le 9 février 2019, une famille du quartier Plein-Ciel a été profondément bouleversée par un acte de violence sexuelle commis par Cédric Guiamba Mefane, un voisin jusque-là considéré comme "innocent et serviable". La Cour l’a finalement condamné à 15 ans de prison pour avoir abusé d’une fillette de 9 ans, dans une affaire marquée par des incohérences et une forte mobilisation de la justice pour la protection des mineurs.
L’audience de Yannick Noah Belingui laisse un sentiment d’inachevé, alimentant davantage les doutes des familles des victimes et du public. Entre contradictions et silences, l’accusé n’a pas réussi à apporter de réponses claires, ravivant la douleur et l’incertitude autour de cette tragédie.
Reconnu coupable de l’assassinat de quatre membres d’une même famille, Yannick Noah Belingui a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité. Ce n'est pas tout. Faisant montre d'une grande fermeté dans le cadre de cette affaire qui a défrayé la chronique et ne cesse de susciter des interrogations, la Cour criminelle l'a également déchu de ses droits civiques, civils et familiaux, entre autres.
L’antenne provinciale de la Police judiciaire du Woleu-Ntem a déjoué une bande de quatre Gabonais, responsables de vols aggravés et braquages dans plusieurs quartiers d’Oyem. Placés en détention à la prison du Peloton, Junior Allogho Ondo, alias Marley, et ses complices ont été arrêtés en moins de 24 heures après une série d’actes criminels commis entre mai et juillet 2025, notamment à Nkomayat, Sablière et Adzougou.
La Cour d'appel judiciaire de Port-Gentil a rendu lundi son verdict dans l’affaire impliquant trois Gabonais, Yvan Onanga, Gelerd Dibouka Moukagni et Jordi Mouramba, poursuivis pour vol avec violence sur deux Européens en octobre 2018.
Dimanche soir à Moanda, une ville du Haut-Ogooué, les habitants ont été profondément choqués par la découverte du corps sans vie d’Hassana Tamboura, un commerçant malien de 26 ans, retrouvé ligoté dans son épicerie à Onkoula.
Hier, le procureur général près la Cour d'appel de Libreville a de nouveau pris la parole pour défendre la décision de libérer provisoirement Sylvia Bongo et Noureddin Bongo Valentin, en rappelant les dispositions du Code de procédure pénale.
Jugés en session criminelle à Port-Gentil, Aimé Juste Ibiedi et Dieudonné Makoundzi ont été condamnés à 20 ans de prison pour tentative de vol avec arme. Leur affaire, liée à une attaque dans la nuit de 2018, a suscité un vif débat sur la justice et la sécurité dans la région.
L'annonce du gel des bourses pour certains pays faite par le président gabonais lors de sa rencontre avec la communauté gabonaise aux États-Unis suscite de nombreux débats. La clarification apportée par l'ANBG met en lumière les filières prioritaires et les enjeux liés à l'application du décret 065/PR/MES/RSIT de 2024.
Hier, la Cour d'appel judiciaire de Libreville a condamné Benjamin Mangadi, un ancien policier récemment formé, à 11 ans de prison avec 2 ans de sursis pour viol sur sa nièce de 13 ans. L’affaire, révélée par une enquête approfondie, met en lumière une situation familiale complexe, où plusieurs membres de la famille sont impliqués dans des faits d’abus sexuels, suscitant une vive émotion dans la société gabonaise.