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Société & Culture

Enseignement supérieur : Le Snec remet ça pour deux nouvelles semaines

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Le Syndicat national des enseignants-chercheurs (Snec) a tenu une assemblée générale, hier, à l'Université Omar-Bongo (UOB) où la vice-présidente du syndicat, Nathalie Sima Eyi, a d'abord fait l'économie de la récente rencontre avec le ministre de l'Enseignement supérieur, Jean de Dieu Moukagni Iwangou, avant de demander à ses collègues la suite à donner au mouvement d'humeur.

Méfiance. Le Syndicat national des enseignants-chercheurs (Snec) ne compte pas suspendre son mouvement d'humeur, du moins tant que la régularisation des situations administratives de certains de ses membres ne sera pas effective. C'est ce qui ressort de l'Assemblée générale tenue hier, à Libreville, dans l'enceinte de l'Université Omar-Bongo (UOB).

Les enseignants-chercheurs membres du Snec ont, au cours de cette AG, décidé de reconduire leur grève pour une durée de deux semaines avec possibilité d'une tenue d'une assemblée générale extraordinaire.

Au sujet du respect du service minimum, une préoccupation soulevée par le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et du Transfert de technologies, Jean de Dieu Moukagni Iwangou, vendredi dernier, les membres du Snec soulignent que, juridiquement, "le service minimum n'est pas encadré dans l'Enseignement supérieur". Ces derniers de préciser que le service minimum est de facto assuré vu que les enseignants continuent de corriger les mémoires et thèses, et poursuivent les recherches en laboratoires.

Pour rappel, le Snec est convié à une rencontre demain mercredi, avec le Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale.



Y.F.I



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