La journée d’hier était censée marquer l’entrée en scène des politiques dans ces assises. Mais rien n'y a fait. Pas d’accès à l’information, longue attente, horaires non respectés.
L’OUVERTURE officielle de la phase politique du Dialogue national inclusif et sans tabou a eu lieu hier au stade d’Angondje. Alors que le début des travaux avait été annoncé pour 14 heures, c’est plutôt à 19 heures que les acteurs de la majorité et de l’opposition sont entrés en plénière. Jusqu’au moment où nous mettions sous presse, aucune information ne nous est parvenue indiquant si l’ordre du jour retenu a été abordé et épuisé.
Parmi ces points inscrits pour les débats d’hier, il y avait l’élaboration du calendrier des travaux du Dialogue politique, la mise en place des commissions thématiques, l’organisation des relations avec la presse et les divers.
Initialement annoncée pour se tenir en début d’après-midi, cette ouverture de la phase politique a plutôt laissé plané un air de doute. En effet, d’aucuns ont regretté de nombreux dysfonctionnements au sein de l'organisation des assises. Mieux, une absence de synchronisation dans les actions. S’agissant par exemple de la commission chargée de la communication, il a été presque impossible de donner l’information juste aux journalistes sur ce qui devait être fait lors de cette journée.
Martina ADA METOULE
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