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Politique

Déclaration : Jean Ping dénonce un "déni de droit" et appelle à la "vigilance et à la "mobilisation"

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L'OPPOSANT Jean Ping a fait une déclaration à la presse nationale et internationale, samedi dernier, au lendemain de la confirmation, par la Cour constitutionnelle, de la réélection du président Ali Bongo Ondimba. Cette sortie a eu lieu à sa résidence des Charbonnages, dans le premier arrondissement de Libreville, en présence de ses principaux soutiens lors de la dernière élection présidentielle.

M. Ping a déclaré que la "Cour a montré ses limites à travers son parti pris". Ajoutant que : "La Nation entière consternée a assisté à un déni de droit, à travers une parodie de procédure qui s'est achevée par une grossière manipulation de chiffres, visant à améliorer la présentation du ministre de l'Intérieur et à créer une avance factice au profit de son candidat."

L'ancien président de la Commission de l'Union africaine a dit avoir, devant ce qu'il a qualifié de "décision inique, antidémocratique et porteuse d'incertitudes", une pensée pour ces femmes et hommes, "jeunes pour la plupart, disparus ou blessés durant ce processus électoral aussi critiqué que heurté". Tout comme, il a dit avoir une pensée "pour ceux de nos compatriotes arbitrairement arrêtés". Non sans exiger leur libération "immédiate et sans conditions", citant particulièrement "le président Léon-Paul Ngoulakia, candidat à la dernière élection présidentielle".

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