Que ce soit au niveau du groupe Gabon Télévisions ou de l'Institut gabonais de l'image et du son (IGIS), l'état des lieux laisse à désirer.
LE ministre d'Etat chargé de la Communication et de l'Économie numérique, porte-parole du gouvernement, Guy-Bertrand Mapangou, poursuit, à un rythme soutenu, ses prises de contacts auprès des entités sous tutelle.
Après les séances de travail avec les partenaires sociaux, le tour est revenu, la semaine dernière, au groupe Gabon Télévisions, à l'Institut gabonais de l'image et du son (IGIS) et à l'Agence gabonaise de presse (AGP) de recevoir le membre du gouvernement et sa suite composée, entre autres, de sa déléguée Chantal Akouosso.
Les maux qui minent le bon fonctionnement de la première chaîne de télévision publique sont divers et variés. Il manque un peu de tout à la “Maison Georges-Rawiri”. Au “studio télé”, pour cause de mauvaise étanchéité, l'eau suinte et dégouline de partout. Au sol et le long des murs.
A l'Institut gabonais de l'image et du son (IGIS), ancien Centre national du cinéma (Cenaci), le ministre d'Etat et sa suite n'ont pu accéder dans les locaux. Ceux-ci étant mis sous-scellés pour des impayés de loyer évalués, indique-t-on, à 42 millions. Pince-sans-rire !
S'agissant de l'AGP, les nouveaux locaux sont prêts. Il ne reste plus que le déménagement effectif. Mais les problèmes liés au fonctionnement sont tout aussi multiples.
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