Opacité ou absence de transparence dans la gestion des ressources financières de la Caisse nationale d'assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs). C'est l'une des causes à l'origine de la dette colossale qui l’accable. Une institution sociale dont les fonds alloués proviennent de plusieurs sources, et certaines sont intarissables. Le cas des prélèvements effectués sur les revenus de l'ensemble des travailleurs des secteurs public et privé.
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Pourtant, malgré cette constance, la Cnamgs fait face à une dette si profonde qu'elle n'arrive même plus à honorer ses engagements vis-à-vis de ses partenaires. Les finances de la caisse étant désormais dans une situation de précarité.
Selon certaines indiscrétions, la dette de l'État est estimée à plus de 34 milliards de FCFA. Et celle de la Fédération des entreprises du Gabon (FEG) dépasserait les 107 milliards. Devenant les deux principaux débiteurs de la Caisse nationale d'assurance maladie et de garantie sociale.
Ce qui met en péril la capacité de cette structure étatique de prestations sociales à poursuivre aisément ses missions. Puisque, à cette liste, il faut ajouter les dettes supplémentaires. Celles attribuées à certains partenaires qu'imposerait, dit-on, la tutelle.
Au vu de tout cela, la Cnamgs demeure en permanence dans un contexte qui alimente des tensions et des con its d'intérêts à répétition. A cela s'ajoute une couche d'opacité dans les procédures. Jetant ainsi le doute sur la légitimité des décisions prises.
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