La ministre de l'Agriculture et de l'Élevage, Odette Polo-Pandzou, a longuement échangé mercredi dernier avec les responsables des trois syndicats de son département : Synpa, Sytrag et Sapanel.
Il était question de trouver les pistes de solutions au cahier de revendications des syndicalistes déposé au cabinet du membre du gouvernement, il y a deux mois. Il s'agit, entre autres, de : l'insuffisance de moyens roulants et des outils informatiques et bureautiques. Ils dénoncent également le retard accusé dans l'application du protocole d'accord signé en 2020 entre l'administration et les partenaires sociaux, les conditions de vie et de travail des agents, l'inefficacité de l'Agasa et les conflits de compétence entre les directions générales du ministère de l'Agriculture et cette même agence.
Après examen de l'ensemble des préoccupations, la ministre Odette Polo-Pandzou a rassuré ses interlocuteurs. En les a invitant à travailler en synergie et à mettre en place un cadre de concertation afin de trouver des solutions aux maux qui minent le secteur de l'agriculture.
"J'ai besoin des compétences pour relever le défi de l'autosuffisance alimentaire et nutritionnelle, mais encore pour faire avancer le département dont nous sommes tous acteurs. Mon cabinet est ouvert pour répondre à toutes les préoccupations ", a-t-elle précisé.
Pour le président du Sytrag, Ulrich Ndoto-Mba, les choses sont claires car la ministre n’a pas pris de temps pour répondre à nos préoccupations. Et nous comptons travailler avec son cabinet pour que nos attentes aboutissent.
random pub
Articles associés
On lui avait dit que ce n’était pas un vrai travail. Elle n’en a eu cure.
Le Centre hospitalier régional (CHR) de Melen a accueilli hier la cérémonie de lancement officiel de la 18e édition de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme.
Au lendemain du décès du pape François, le gouvernement gabonais a décidé de marquer son respect et sa solidarité envers la communauté catholique du monde en mettant en berne ses drapeaux dans tout
Le collectif des anciens employés de l’hôtel Rapontchombo de Libreville vient de monter au créneau, au cours d’un point-presse animé au quartier Louis dans le 1er arrondissement.
Dans un contexte où plus de 60 % de la population gabonaise est jeune, Colette Amorissani, présidente de l’association Équateur, tire la sonnette d’alarme sur les conséquences des grossesses non dé
Pour le financement de cette belle ambition de transformation, 1 000 milliards de francs CFA doivent être mobilisés sur cinq ans, que ce soit par emprunt ou financement interne, renseigne Steeve Sa
