Les étudiants en fin de cycle des département d'Espagnol et d'Anglais de l’École normale supérieure (ENS) sont en colère. Pour cause...
Ils fustigent la décision de leur administration de les envoyer en bain linguistique en Guinée-Équatoriale et au Cameroun. La décision n'est certes pas officielle, mais elle sera du moins appliquée, apprend-t-on de sources autorisées.
Selon les étudiants, la nouvelle serait partie d'une rumeur, avant qu'elle ne soit confirmée par les responsables de cette école. Selon les étudiants concernés, l'idée d'une immersion dans ces deux pays serait préjudiciable à leur cursus universitaire, d'autant plus que la situation du Cameroun demeure instable avec des apparitions épisodiques de la secte Boko Haram dans la partie septentrionale de ce pays.
Le principe voudrait que tous les étudiants régulièrement inscrits en langues étrangères, bénéficient d'un stage d'immersion. Depuis toujours, deux pays accueillent ces apprenants. L'Afrique du Sud pour les Anglicistes, et l'Espagne pour ceux inscrits en langue espagnole.
Pour le cas de la Guinée-Équatoriale, les futurs enseignants pensent qu'il serait absurde d'apprendre la langue espagnole dans un pays très influencé par la langue fang.
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société Gabon
random pub
Articles associés
Le partenariat qui visait à fournir des kits microsciences aux établissements scolaires publics porte ses fruits.
Plusieurs établissements supérieurs qui avaient l'habitude d'accueillir les bacheliers boursiers de l'État ont été surpris en cette rentrée académique de découvrir sur les réseaux sociaux qu'ils ne
Véritable serpent de mer, le phénomène de l'insalubrité demeure au cœur des préoccupations à l'Hôtel de Ville de Libreville.
Sommes-nous réellement en train d'écrire une nouvelle page de notre histoire ?
Ce lundi 16 septembre après-midi, c'est jour de présentation du livre "Awu m'awu Oser l’espérance pour un autre Gabon".
Au cours d'une conférence de presse récemment organisée à Libreville par la plateforme DigieWomen School, la fondatrice Christine Soro et la marraine Annie Chrystel Limbourg Iwenga ont dévoilé les
