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Économie

Eau impropre à la consommation : la mise au point de la SEEG

Eau impropre à la consommation : la mise au point de la SEEG

Faisant l’objet d’une « diffamation » sur les réseaux sociaux en raison de sa qualité d’eau, la société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), a, dans un communiqué parvenu à notre Rédaction apporté des éclairages. 

En effet, l’organisme publique rappelle que le « message audio actuellement diffusé sur les réseaux sociaux, affirmant qu’il serait formellement interdit jusqu’à nouvel ordre de boire de l’eau de la pompe en raison de la présence supposée d’un " microbe ", est totalement faux ».
 
Dans ce sens, « la SEEG réfute catégoriquement cette information et précise que la qualité de l’eau produite, transportée et distribuée fait l’objet de contrôles rigoureux et continus, conformes aux normes de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) relatives à l’eau destinée à la consommation humaine ».
 
La SEEG rassure que « ces contrôles sont réalisés au quotidien par un réseau de 38 laboratoires régionaux, appuyés par le Laboratoire Central Eau, dans le cadre d’un dispositif permanent d’analyses de pilotage et d’auto-surveillance ».
 
Se voulant clair sur son fonctionnement, la société précise que « l’ensemble de ces analyses, ainsi que d’autres actions d’exploitation, est conduit selon des protocoles validés et des fréquences de contrôle strictement respectées, garantissant en permanence la potabilité de l’eau produite et distribuée sur tout le territoire national ».
 

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