Jugeant illégales les assises des 5, 6 et 7 avril derniers, Michel Menga M'Essone, l'un des pères fondateurs de RHM, a dit engager, dès cette semaine, une bataille juridique contre ses anciens compagnons devenus membres et militants du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM). Car, a-t-il promis, ''RHM ne mourra pas ! ''
Michel Menga M'Essone a officiellement acté le divorce avec Alexandre Barro Chambrier et les siens, devenus membres du Rassemblement pour la Patrie et la Modernité (RPM) depuis le 7 avril dernier. C'était à l'issue du premier congrès extraordinaire du Rassemblement Héritage et Modernité (RHM).
Des assises que l'actuel ministre d'Etat chargé de l’Éducation nationale a jugées, samedi dernier, à la faveur d'une déclaration à la presse et devant plusieurs de ses sympathisants, d'illégales, au regard des textes fondateurs le RHM. Lesquels, selon lui, exigent au préalable, pour l'organisation d'un congrès, la tenue des congrès provinciaux. Ce qui n'a pas été le cas, a-t-il fait remarquer.
Il a publiquement déclaré ''une bataille juridique'' contre ses anciens compagnons politiques. Et cela, dès cette semaine qui s'ouvre. Car, pour lui, il n'est pas question de valider la disparition du RHM ''pour des ambitions personnelles''.
Stéphane MASSASSA
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