La question de la validation de cette élection, qui s'est tenue en l'absence du représentant du ministère de la Jeunesse et des Sports, a été posée.
enquête diligentée par la direction générale de la Documentation et de l'Immigration (DGDI) l'avait exclue de la course à la présidence de la Fédération gabonaise de wushu (Fégawu), pour avoir géré l'association sportive de '' manière familiale''. Pourtant, Édith Florida Ambimba s'est bien présentée à cette élection, l'ensemble des délégués, y compris elle-même, n'ayant nullement tenu compte de l'existence de ce document de la DGDI.Ainsi, vendredi dernier, au terme de l'assemblée générale élective tenue au siège de cette fédération, sis au quartier Baraka, Edith Florida Ambimba, épouse Biyoghe, qui assurait depuis 2014 l'intérim de la présidente Monique Boukoko, suite à son départ volontaire de tête de la Fégawu, a été élue haut la main, à la tête de ladite fédération.
Sur un collègue électoral de douze votants, Mme Ambimba, seule candidate en lice, a obtenu onze voix. L'absence du douzième délégué à ce vote à main levée n'a pas eu d'incidence sur le résultat final du scrutin.
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