Parce qu'il juge que le secteur du transport suburbain évolue dans un cadre non structuré, et qu'il faut mettre en place des mécanismes à même de permettre à cette activité de s'exercer dans la norme, le Syndicat libre des transporteurs terrestres du Gabon (Syltteg) s'est fixé comme cheval de bataille, lors de sa rentrée, la restructuration de cette branche, grande pourvoyeuse d'emplois pour les jeunes.
Pour ce faire, le syndicat compte procéder à l'organisation administrative des différents sites d'embarquement des usagers, en mettent en place des bureaux. L'objectif étant de mieux réguler le transport suburbain à ces différents endroits.
Ainsi, après l’installation des bureaux des sites d'embarquement de l'échangeur de Nzeng-Ayong et du PK-12, le président du Syltteg, Jean-Robert Menie, a dernièrement procédé à la mise en place de celui de Dragages, qui sera dirigé par David Ndong Sossa. "Vous avez pour mission de régulariser le secteur, afin qu'il puisse régner de l'ordre et que les transporteurs puissent exercer dans un cadre serein", a recommandé Menie aux membres de ce bureau. Une tâche que Ndong Sossa a promis de mener avec abnégation et acharnement.
Abel EYEGHE EKORE
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société
random pub
Articles associés
Procéder à l'élaboration d'un cadre stratégique visant à améliorer le système de transfusion sanguine au Gabon pour garantir un accès sûr, équitable et durable au sang et aux produits sang
Dans le cadre de la transformation pédagogique à l’Université des sciences et techniques de Masuku (USTM), une formation intensive s'est tenue pour initier les enseignants-chercheurs à l'approche p
Alors que le Gabon s'est doté d'un cadre juridique solide pour réguler le secteur des télécommunications, la réalité sur le terrain révèle un décalage préoccupant.
Le 25 novembre 2024, le Lycée Michel Montaigne a communiqué une décision qui a provoqué un tollé parmi les parents d'élèves.
Cédric Bourobou Nzaou, un des trois représentants du collectif des filiales dissoutes de la Gab'Oil, a la voix de ces personnes qui font face à une situation qui les empêche de dormir.
Dans une déclaration à la presse, M.
