C'est du moins l'un des principaux objectifs des assises organisées dans la capitale saoudienne, et auxquelles le président de la République, Ali Bongo Ondimba, a pris part, aux côtés de plusieurs de ses pairs du monde arabo-musulman, ainsi que du chef de l'Etat américain Donald Trump.
LE chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, était en déplacement à Ryad, capitale du royaume d'Arabie Saoudite, samedi dernier. Il était invité, par Sa Majesté le roi Salman Ben Abdelaziz Al Saoud, à prendre part au sommet islamique arabo-américain qui s'est tenu du 20 au 21 mai 2017.
Peu après son arrivée dans le royaume wahhabite, le numéro un gabonais a eu un entretien avec le prince Mohammed Ben Abdurahman Ben Abdulaziz, le vice-gouverneur de la région de Ryad. Occasion pour les deux personnalités de faire un bref point sur la coopération entre le Gabon et l'Arabie Saoudite. Tout comme ils ont évoqué les enjeux des assises de la capitale saoudienne. Il s'agit essentiellement de la recherche des voies et moyens en vue de la "création d'un nouveau partenariat pour lutter contre l'extrémisme et le terrorisme, favoriser la promulgation des valeurs communes de la tolérance et promouvoir la sécurité, la stabilité et la coopération pour un présent et un avenir meilleurs pour nos peuples".
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