Nul besoin de rappeler l'importance vitale de l'alimentation dans le corps humain. Mais que mangeons-nous et dans quelles conditions d'hygiène lorsqu'on le fait hors de chez soi ? C'est la problématique.
En effectuant le tour de quelques restaurants et autres cafétérias de la place, essentiellement ceux aux mains de nos frères expatriés, l'impression est qu'on peut y rentrer en bonne santé et en sortir malade. Tant les règles d'hygiène ne semblent pas être la préoccupation première des tenanciers.
La supercherie est simple : on prend le soin de bien aménager là où mangent les clients. Mais dans la cuisine, c'est une véritable… porcherie. Les blouses des cuisiniers sont crasseuses, les torchons utilisés sont devenus noirs avec le cambouis, l'eau qui sert à laver les assiettes est puante, etc. Un décor qui vous donne tout de suite la nausée. « Ces restaurateurs n'ont qu'un seul souci, celui de se faire de l'argent sans se soucier de notre santé. A cause de la m… qu'ils nous servent, nous finissons notre argent dans les hôpitaux et les pharmacies. On pourrait nous faire le reproche de manger dans ce genre d'endroits, mais c'est un mal nécessaire. Il suffit que les instances habilitées au contrôle puissent simplement jouer leur rôle de préserver la santé publique », a suggéré un compatriote.
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Port-Gentil
random pub
Articles associés
À l'initiative de la présidente du Sénat de la Transition, Paulette Missambo, par ailleurs native de l'Ogooué-Lolo, une caravane médicale a eu lieu le 14 novembre dernier dans la foulée de la
Une caravane médicale a parcouru dernièrement Ovan, chef-lieu du département de la Mvoung, dans la province de l'Ogooué-Ivindo.
L'atelier de formation dédiée à la prise en charge globale correcte des personnes vivant avec le VIH/Sida, qui a réuni les prestataires de santé de l'hôpital Marcel-Abéké (HMA) et leurs col
