Janis Otsiemi, l'écrivain gabonais qui s'est le plus illustré dans le polar à ce jour, était sur le gril du Club Lyre samedi 27 juin dernier. Une opportunité en or pour cet écrivain prolifique qui s’est réconcilié, en cette circonstance, avec le monde universitaire.
JANIS Otsiemi au Club Lyre ! Voilà une belle prise pour les promoteurs de la littérature d'ici et d'ailleurs. Cet écrivain venu des Akébé jouit d'une renommée internationale bien établie, notamment en France, mais se montre rétif à prendre part à n'importe quelle invitation sur le plan local. D'autant qu'il a l'impression d'avoir pendant longtemps été marginalisé. Une posture qui embarrasse quelque peu le jeune auteur prolifique. '' Ce qui me dérange, c'est que pour être reconnu chez moi, il a fallu que la France adoube mes travaux littéraires'', se désole celui qui a "cassé le stylo" en classe de troisième.
L'auteur de '' African tabloïd'', '' La vie est un sale boulot'', '' Le chasseur de lucioles''... , a atterri dans le polar en lisant… “ Charlie Hebdo”. Puis il s'inspire de Libreville et de ses habitants pour camper les personnages et les intrigues de ses romans.
Au sortir de son rendez-vous avec le Club Lyre, Janis Otsiemi a fait une révélation : '' Cette rencontre m'a réconcilié avec le monde universitaire avec lequel j'étais en froid pour des raisons personnelles.''
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société Gabon
random pub
Articles associés
Le 11 novembre dernier, devant la mairie du 17e arrondissement de Paris, une cérémonie vibrante d'émotion a eu lieu en hommage à Georges Duckson, un héros de la Résistance française.
La célébration en différé de la Journée mondiale du diabète a eu lieu le 21 novembre dernier au Gabon.
La santé mentale des travailleurs, bien qu'on n’en parle pas souvent, est préoccupante.
Depuis le 16 novembre, l’Institut français du Gabon (IFG) a temporairement fermé ses portes, histoire d'amorcer un ambitieux projet de rénovation destiné à moderniser ses infrastructures.
Recemment, la santé mentale a été célébrée à travers le monde.
La Journée mondiale de l’enfance, a été marquée hier 20 par de nombreuses activités et célébrations au Centre d'accueil des enfants en difficulté sociale d'Akanda (CAPEDS).
