POUR atteindre cet objectif, elle a demandé au directeur de l'Ogssu, Alain Bengang, au président de la Fédération gabonaise des sports scolaires (Fégass), Didier Pendji, et à celui des Sports universitaires (Fégassu), Pamphile Mebiame Akono, de se rencontrer et de parler du même voix. De sorte que les uns et les autres mettent de « l'eau dans leur vin pour une meilleure organisation des jeux de l’Ogssu », a-t-elle recommandé.
Et d'ajouter : « Il est clair que nous ne pourrons véritablement avoir les jeux de l'Ogssu, tels que nous les avons connus il y a plusieurs années, que lorsque le stade omnisports Omar-Bongo sera livré. C’est ce qui fait la beauté de ces jeux lorsqu'ils se disputent au même endroit. Alors, trouvez le juste milieu pour qu’il n’y ait plus de disputes entre vous », a conseillé la ministre Asselé à ses hôtes. Avant de reconnaître que les jeux de l’Ogssu actuels « n’ont rien à voir avec ceux que nous avons connus. Il est important que nous puissions faire revivre les vrais jeux de l’Ogssu à nos enfants », a-telle souhaité.
F-K-O.M
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