En prélude à son spectacle ce samedi 7 septembre 2019, à 20 heures, à l'Institut français, l'artiste-musicienne gabonaise partage, dans cette interview, les moments forts qui vont constituer ce rendez-vous musical marquant son retour sur scène, après une longue pause musicale. Mais également la sortie imminente de son nouvel album, ses projets et surtout la nouvelle reconversion professionnelle opérée dans sa vie.
’union: Après une longue pause musicale, vous voici de retour pour un concert ce samedi soir à l'Institut français. Que réservez-vous au public ? D'autres artistes seront-ils de la partie ?Annie-Flore Batchiellilys : C'est avec beaucoup d'émotion que je compte retrouver le public ce samedi 7 septembre à l'Institut français. Le rendez-vous de ce samedi s'annonce encore comme une belle histoire et marquera un pas de plus dans ce partenariat génial qui me lie depuis des années à cette institution. J'aurai, à mes côtés, le musicien Fresh qui est mon partenaire de toujours. Il n'y aura, malheureusement, pas d'autres artistes.
Quelle sera la particularité de votre prochain album "Fundu" ?
Fundu, c'est une belle histoire. C'est un album qui a été conçu avec amour. Plusieurs énergies et compétences se sont spontanément mises ensemble pour que ce projet-là puisse voir le jour. Il y a, par exemple, un studio qui a généreusement ouvert ses portes, un musicien qui a mis tout son talent pour travailler, un graphiste qui a apporté sa contribution, des mécènes qui ont accompagné le projet, etc. Tout a été fait avec amour.
Propos recueillis par Frédéric Serge LONG
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société
random pub
Articles associés
Dans un entretien accordé au journal L'Union, Nadine Nathalie Awanang-A
Dakar a accueilli, récemment, le lancement du programme régional ''Chaque femme, chaque nouveau-né partout''.
Depuis trois mois, les enseignants des centres de formation professionnelle gabonais sont en grève pour dénoncer des conditions de travail inadéquates et des manques criants en ressources pédagogiq
La Ministre des Affaires Sociales.
Emprunter la Nationale 1, c'est s'engager dans une véritable loterie pour les automobilistes, surtout les novices.
En cette Journée mondiale du diabète, le Gabon se retrouve confronté à une réalité inquiétante : près de 10 % de sa population est touchée par cette maladie chronique.
