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Politique

Journée nationale de la femme : "Nous refusons la lâcheté, les traîtres et le mensonge"

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C’est le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, qui l’a déclaré, samedi, à l’occasion de la célébration de la 18e édition de la Journée de la femme. A l’amphithéâtre de l’Ecole normale supérieure de l’enseignement technique (Enset), devant un parterre d’invités. .

L’AMPHITHEATRE de l’Ecole normale supérieure de l’enseignement technique (Enset) a fait salle comble samedi dernier. Des milliers de femmes ont pris d’assaut ce lieu pour célébrer la 18e édition de la Journée nationale de la femme. L'édition de cette année aura été marquée par la non désignation d’une lauréate du Grand prix du président de la République. Celle-ci, qui s'est déroulée en deux phases, a plutôt été l’occasion de faire la promotion du plus grand nombre.

La première, avec le vice-Premier ministre, ministre de la Santé, Paul Biyoghe Mba, qui a exalté l’œuvre des pouvoirs publics en faveur de l'émulation et de l'autonomisation des femmes, et la remise des attestions à 30 femmes sur 200 ayant suivi une formation sur les activités génératrices de revenus (AGR).

En deuxième phase, cette fois en présence du chef de l’Etat qui a assisté le même jour à l’investiture du président congolais, Denis Sassou Nguesso. Elle a été marquée par les interventions de l’ancienne lauréate du Grand prix du président de la République, Edith Massounga Delanglade, et du numéro un gabonais, Ali Bongo Ondimba.

Jonas OSSOMBEY

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