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Politique

Gouvernement : Un ingénieur face à l'état du réseau routier

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Au vu de l'état actuel du réseau routier national, la nomination de Léon Armel Bounda Balonzi à la tête du ministère des Transports, de l'Équipement, des Infrastructures et de l'Habitat, ne pouvait pas mieux tomber. Tant cet ingénieur de génie civil de formation, également titulaire d'un Diplôme d'études supérieures spécialisées (DESS) et d'un Certificat d'aptitude à l'administration des entreprises (CAAE), peut se prévaloir, au regard de ses états de service, d'une expertise avérée en matière de travaux publics et d'aménagement routier.

La preuve ? De retour au pays après l'obtention de son diplôme, en 2000, à l'Ecole nationale d'ingénieurs de Bamako, au Mali, le natif de Fougamou a fourbi ses armes dans certaines majors de construction de bâtiments et travaux publics. En qualité, entre autres, d'ingénieur des travaux et chef de chantier.

À ce titre, il a été notamment chargé du suivi des procédures de qualité, responsable de la mise en œuvre des couches de chaussée et garant de la qualité des travaux sur les différents chantiers confiés à ces entreprises. Ce qui lui aura permis, quelques années plus tard, d'intégrer le Fonds d'entretien routier (Fer) où il a occupé plusieurs fonctions. Entre autres : assistant technique de l'administrateur du Fer ; responsable technique ; directeur technique du Fer de deuxième génération ; etc. Avant d'être nommé au ministère du Budget et des Comptes publics, comme directeur général adjoint 1 du Contrôle des Ressources et des Charges publiques. Puis directeur du Contrôle du service fait de l'État et de l'Exécution des marchés ; et directeur des marchés publics.



J.KOMBILE.MOUSSAVOU



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