Au cours d'une conférence de presse animée, hier au siège de leur parti politique, le Rassemblement Héritage et Modernité, le président de ladite structure, Alexandre Barro Chambrier, et ses amis, sont revenus sur plusieurs sujets qui font l'actualité en ce moment.
TROIS points ont essentiellement constitué l'ordre du jour des travaux : le dialogue national appelé par le président Ali Bongo Ondimba, la situation dans le monde scolaire et universitaire et l'interpellation récente des journalistes d'"Echos du Nord".
Sur le premier point, l'ancien député du 1er siège du quatrième arrondissement de Libreville et les siens ont décrit "le climat de répression jamais égalée qui s'abat dans le pays avec les arrestations arbitraires, des emprisonnements, des tortures et des assassinats de nombreux compatriotes". Non sans "exiger la libération immédiate et sans conditions" de l'ancien député de Minvoul, Bertrand Zibi Abegue, "avec tous les autres injustement incarcérés".
Ce sont-là autant d'éléments qui, selon le Bureau politique du Rassemblement Héritage et Modernité, ne peuvent militer en faveur d'un dialogue national prôné par le chef de l'Etat. "Dans ces conditions, le Rassemblement Héritage et Modernité réitère son engagement aux côtés de Jean Ping (...) en vue de la tenue prochaine d'un dialogue national pour l'alternance", ont indiqué les intéressés.
O'. N. & C. O.
Retournez à la rubrique Gabon politique Gabon
random pub
Articles associés
Le processus d'adoption de la nouvelle Loi fondamentale semble loin d'être achevé.
La satisfaction du Gouvernement
La ministre de la Communication et des Médias, Laurence Ndong, a exprimé hier la satisfaction du gouvernement quant au bon déroulement du référendum consti
Victoire Issembe Lasseni Duboze, figure emblématique de la politique gabonaise, a choisi de quitter la scène électorale.
Ce 20 novembre 2024, le Premier ministre, chef du gouvernement, Raymond Ndong Sima, a tenu une rencontre avec le directoire du Groupe Santé Pharmaceutique Gabon, une entreprise active depuis 2017.
Le 20 novembre 2024, Libreville a accueilli une cérémonie marquante pour le secteur de la défense.
Après la divulgation des résultats du référendum par Hermann Immongault, ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, tous les regards se tournent vers la Cour constitutionnelle.
