IL faut bien avouer qu'on ne l'avait pas vu venir. Le Covid-19 a eu une incidence sur la hausse des accidents de la route en 2020.

L'ensemble des confessions religieuses du Gabon viennent de faire écho auprès de leurs communautés respectives de l'une des mesures fortes prises par le gouvernement, pour lutter contre la propagation du coronavirus (Covid-19) dans notre pays.

LE ministre gabonais de l'Education nationale, Pr Patrick Mouguiama Daouda veut définitivement régler la question des effectifs pléthoriques au sein des établissements d’enseignement public.

En tant que prochains cadres du pays, il est apparu important à la Fondation Sylvia Bongo Ondimba, qui associait cette année la chaire Unesco et l'UOB dans le combat contre ce phénomène dévalorisant, d'impliquer les étudiants, notamment ceux des facultés de droit et d'anthropologie, compte tenu de leurs qualités de futurs concepteurs des cadres normatifs et baromètres d'étude des sociétés et des cultures.

Aucune campagne de vaccination n'est prévue dans notre pays. C'est du moins ce qu'a annoncé, samedi dernier, le porte-parole du Comité de pilotage (Copil) du plan de veille et de riposte contre l’épidémie à coronavirus au Gabon, le Dr Guy-Patrick Obiang, lors de sa conférence de presse journalière.

Jusqu'au samedi 17 novembre prochain, des experts d'ici et d'ailleurs donneront aux participants réunis à l'hôtel Nomad de Libreville des techniques pratiques pour instaurer la performance, faire naître, agrandir et épanouir des projets.

Des élèves anxieux et impatients en quête d'une probable information sur les délibérations. C'est dans cette atmosphère quelque peu grisâtre que nous avons rencontré hier, à Libreville, quelques-uns des 36 067 candidats libres et officiels ayant pris part à l'examen du Brevet d'études du premier cycle (BEPC), session 2018, sur l'ensemble du territoire national.

Au lendemain de l'annonce du premier sujet positif de la capitale économique, ceux qui considéraient la pandémie comme un leurre révisent leurs positions.

Un groupe de quinze journalistes de presse écrite et en ligne était en formation à Libreville mardi dernier. Il s’est agi de renforcer leurs capacités sur la notion de gouvernance forestière et sur l’observation indépendante, afin de leur donner des outils pour améliorer la communication sur les questions environnementales.

Même si celle-ci est diversement interprétée ici et là, l'opération de contrôle de l'effectivité des fonctionnaires à leurs postes de travail a, cependant, l'avantage de resserrer les mailles du filet pour mieux débusquer les travailleurs fictifs et aider l'administration publique à remonter sa productivité.