LE représentant spécial du secrétaire général des Nations unies en Afrique centrale, Abdoulaye Bathily, a été l'hôte du chef de l'Etat, hier, au palais de la présidence de la République. A l'ordre du jour de cet entretien, la situation sécuritaire dans la sous-région d'Afrique centrale, et d'autres questions d'intérêt commun.
Le président de la République, Ali Bongo Ondimba, par ailleurs président en exercice de la Communauté des États de l’Afrique centrale (CEEAC), et son interlocuteur ont ainsi pu passer en revue les préoccupations liées à la lutte contre le terrorisme et les trafics illicites de toutes sortes. Les synergies de lutte contre la secte islamique nigériane Boko Haram ont certainement été abordées. Sans compter la tenue récemment, à Abuja, la capitale du Nigeria, du deuxième sommet des chefs d'Etat consacré à cette nébuleuse qui sévit dans la plupart des pays du bassin du lac Tchad. Le constat du recul de la menace incarnée par ce groupe terroriste n'était pas en reste.
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