Ce n'est pas le premier rendez-vous du genre auquel sont invités les acteurs industriels et le gouvernement. Par le passé, ces derniers se sont à plusieurs reprises retrouvés sur la table des négociations pour définir la politique industrielle du Gabon.
Hier, lors de cette grand-messe, les discours prononcés par le vice-Premier ministre, le ministre de l'Industrie et le représentant des industriels avaient de quoi donner des frissons. Tellement ceux-ci ont mis en avant des éléments déjà connus de tous qui souffrent d'un manque d'application sur le terrain.
Ce n'est un secret pour personne, le Gabon, et ce malgré l'avènement du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI), continue d'organiser des assises de grandes envergures aux résultats insatisfaisants.
Or, une réalité demeure, l'économie prend du retard. L'industrie gabonaise perd du terrain par rapport à celles des autres pays africains.
À cet effet, il est certainement temps de mettre réellement en œuvre les recommandations issues de ces "journées de l'industriel", qui sont une réelle opportunité de définir la feuille de route du Gabon de demain.
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