Au vu de la propagation du Covid-19 dans notre pays et de l'audition, hier, de la Garde des Sceaux, par les membres de la Commission des lois de l'Assemblée nationale, la situation exceptionnelle actuelle devrait encore perdurer pendant quelque temps.
Les travaux qui ont débuté hier pour prendre fin aujourd'hui, à Libreville, se déroulent sous le thème " Évaluation des politiques publiques en Afrique : bonne gouvernance, efficacité de la dépense publique".
C'était à l'occasion de la séance plénière de vendredi dernier. Un autre texte a d'ailleurs été voté au cours de ces mêmes assises présidées par Faustin Boukoubi, en présence du chef de la diplomatie gabonaise, Alain-Claude Bilie-By-Nze.
Le président du Parti social démocrate (PSD), Pierre-Claver Maganga Moussavou, a présenté officiellement certains de ses candidats aux Législatives à venir. Au cours de deux rencontres organisées, jeudi dernier, au quartier Nyali dans le 5e arrondissement et au Centre social d'Akébé dans le 3e arrondissement de Libreville.
C'est du moins ce qui ressort de l'audition, récemment, de Mathias Otounga Ossibadjouo, ministre de la Décentralisation, de la Cohésion et du Développement des Territoires, au Sénat.
En marge de sa participation au 17e sommet de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), le président de la République, Ali Bongo Ondimba, s’est entretenu, hier, dans la capitale arménienne, avec son homologue français, Emmanuel Macron.
Conséquence logique de la prestation de serment des membres de cette équipe, hier, à la présidence de la République, devant le chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba. Une cérémonie conforme aux dispositions de l'article 15 de la Constitution.
À Ntoum, le Parti démocratique gabonais (PDG) vient d'enregistrer de nouvelles adhésions. En effet, quelques cadres des partis politiques de l'opposition (Union nationale, Les Démocrates, Rassemblement pour le Gabon) ont démissionné en bloc pour réintégrer le parti au pouvoir. Leur décision a été prise "en toute âme et conscience et sans pression aucune", comme ils l'ont eux-mêmes souligné.
Réagissant, quoique assez tardivement, au communiqué du gouvernement après la sortie de l'Union africaine (UA) qui s'est dit « attachée au strict respect de l'ordre constitutionnel » et promis « l'envoi d'une mission d'information et d'écoute » au Gabon, le Rassemblement Héritage et Modernité (RHM), un parti de l'opposition, dans une déclaration émanant de son secrétariat exécutif, s'est dit favorable à l'initiative de l'organisation panafricaine.
Bien qu'assurant un intérim qui peut aller jusqu'à trois mois, le nouveau maire central devrait œuvrer dans le sens d'impulser une dynamique nouvelle, nécessaire au rayonnement d'une institution à l'image écornée par le scandale de l'incarcération de son président et de plusieurs de ses cadres.